Nez sous le soleil (Jamala + libre)

Immense vu sur la terre des ancêtres, le lion avait posé son regard attentif sur la terre des lions. C'était incroyable comment le territoire était long, loin et surtout très vaste pour un lion de son âge. Il espérait bientôt trouvé remplacent pour le succédé ou plutôt pour succédé Kovu. Il pencha légèrement la tête repensant à tout ce qui c'était passé sur la terre depuis son retour. Tout était aller si vite, Souka, la lionne de sa vie, Baharie, la belle petite amour de sa vie et la mort de Kiara ainsi que celle de son époux. Lucius avait bien juré faire toute ce qui était en son pouvoir pour gardé la paix sur les terres, mais ses vieux os lui murmurait bien des difficultés face à son rang devenant jour après jour, un lourde fardeau sur ses épaules. Mais, il n'est demeurait pas moins de ne pas donné ses vrai impression au autre. Lucius était beaucoup trop fier pour montré faiblesse, même envers sa femelle. Il décida donc de porté seul, le poids d'un monde, étant aidé de ses compatriotes mâles. Il releva aussitôt la tête en fermant légèrement les yeux pour prendre le temps de sentir le vent s'entremêler dans sa crinière. Il prit un grand respire, long et profond, écoutant les messages des ancêtres. C'était une manière de surtout se rassuré et surtout de ne pas pensé qu'il était seul dans toute cette cacophonie.

-Je sais...

Lucius, même vu son âge restait très habile. Il avait entendu des pas, surement d'une femelle. Il n'avait même pas eu besoin de se tourné pour détourné pour sentir la présence de l'intrus dans sa mâtiné. En faite, l'odeur, le bruit, le lion ne pouvait pas être très subtile à ses yeux, lui qui avait veillé à apprendre tous les trucs de Kovu à la lettre.

-Bonjours

Il tourna alors la tête avec un sourire.

Le soleil tapait. Aucun vent ne soufflait. La journée était à son point culminant, et la chaleur était suffocante. Le moindre point d'eau était surpeuplé, mais il n'y avait rien sur le reste des terres. Les carnivores avaient le ventre plein et les herbivores savaient qu'ils ne risquaient plus rien. Les lions dormaient d'un sommeil lourd, peu être sans rêve. Seul certains lionceaux jouaient encore, peu enclins à la sieste. Et, bien sûr, pour surveiller les plus petits, il y avait deux ou trois lionnes qui somnolaient. Bref, tout était très paisible.
Enfin presque.

Une lionne marchait vers une destination inconnue d'elle-même. Elle était brune, avec une fine mais grande cicatrice sur sa cuisse et deux traits blancs sur la tête. Ses pas effleuraient la terre sans vraiment la toucher. Aucun brin d'herbe ne bougeait. Elle était fluidité et harmonie. Bientôt, avec la rapidité du serpent, elle s'aplatit. Un feulement sortit de sa gorge, trop faible pour attirer l'attention. Si la plupart des carnivores avaient déjà chasser, elle avait le ventre vide. Désespérément vide. Elle se contraignit à oublier sa faim, et se concentra. A ce moment, même un aigle fixant avec assistance cet endroit n'aurait pu la voir. Elle faisait corps avec la terre. Alors, une proie, vous pensez bien ! Impossible ! La lionne bondit. Il y eut un instant de surprise dans le troupeau de gazelle, puis ce fut la débandade. Tout le monde courait sans savoir que faire ni ou aller. Mais le calme revint vite : la lionne ne les avaient pas suivi. Elle était loin, en train de se régaler d'une très vieille gazelle qui n'aurait pas pu survivre encore longtemps. Elle ne s'était pas vu mourir, et c'était au moins cela ! Elle finit autant qu'elle pu, puis laissa la charogne aux charognards.
Jamala se remit à errer.

Étant une bannie, elle n'aurait pas du être là. C'était rigoureusement interdit ! Et la lionne savait ce qu'elle risquait si elle était découverte. La mort. Dans le meilleur des cas. Mais elle s'en fichait bien, ces terres étaient celles de sa naissance, de son enfance, et elle y était trop attachée pour ne jamais revenir. La plupart du temps, elle ne s'aventurait pas trop loin. Jamala était victime d'une injustice, et voulait absolument le prouver aux autres, à ceux qui l'avaient condamné. Ces terres lui rappelaient tellement de souvenir ! Elle vit une pierre. Petite, elle se juchait dessus et défiait quiconque de venir la faire tomber. C'était un de préférés jeux des lionceaux, et les prétendants aux rochers ne manquaient pas. Il restait des marques de griffes. Là, vers ses touffes d'herbes, Jamala avait chasser sa première proie, une simple souris que la lionne avait relâcher. Son frère, ses parents, ses amis lui manquaient tant ! C'était une profonde déchirure qu'elle avait fini par accepter. A contre-cœur. Elle les aimaient encore. Surtout son frère adoré, qui lui avait apprit à chasser. Sans lui, survivre sur les terres des bannis aurait été impossible. Elle se rappelait trop le jour ou tout avait basculé, ou elle avait vu, devant ses yeux, son père mort, les crocodiles et ce foutu lion. Qu'il soit maudit ! Sans lui, Jamala serait encore à prendre la vie comme elle venait, à jouer avec ses amis. Peu être même aurait-elle trouver l'amour. A cause de lui, elle n'avait plus rien. Rien que des souvenirs et des pulsions meurtrières. Le bonheur, la légèreté, l'amitié lui étaient désormais inconnus, trop loin dans son passé pour qu'elle se souvienne de leurs goûts.
Jamala avait promit de venger sa famille.
Elle le ferait.

Devant ses yeux, un imposant rocher écrasait le reste de la savane. Ses pas l'avait menée là, et elle se demanda si elle pourrait, une dernière fois, observer toute la savane depuis la pointe. Avant, elle le faisait souvent. Tout le monde était gentil et acceptait qu'elle y joue avec les autres lionceaux. Elle bondit de pierre en pierre, escaladant avec une surprenante facilité. Bientôt elle fut tout en haut et sourit. A pas lent, elle alla vers la pointe. Elle n'avançait pas vite. Elle avait tout son temps. Cela na servirait à rien de se presser. Une fois à la pointe, elle s'arrêta, subjuguée par la savane. L'herbe était immobile, le soleil illuminait le moindre recoins, et la-bas le lac aux eaux claires lui semblait plus grand que dans son souvenir. Tout au fond, tel l'ombre qui ternit la lumière, il y avait ces foutus terres des bannis. Elle les oublia un instant pour goûter à un nouveau plaisir. Elle était si bien ! Cela n'était pas arrivé depuis longtemps.
Un pas la sortie de ses pensées.

Elle paniqua un instant, bondit, et se cacha du mieux qu'elle pu. C'était un lion grand, apparemment assez âgé, qui observait la savane comme elle l'avait fait quelques instants avant. Un frisson glacé parcouru Jamala en le reconnaissant : Lucius, le monarque pour l'instant. Bien sûr, il ne serait pas très longtemps monarque, car il devait désigner un nouveau monarque à sa place. Ce qui, elle le devinait, n'était pas chose aisée. Il soupira et dit quelque chose que Jamala ne comprit pas. Elle sortit, trop curieuse pour rester. Qui plus est, les autres se réveilleraient bientôt. Plutôt affronter un lion qu'une véritable horde furieuse ! Il dit un simple mot. Qui rassura un peu la lionne. Lucius ne semblait pas vraiment méchant ou sadique. Un simple bonjour, mais personne ne lui avait dit depuis très longtemps.
Elle sourit.
Se mit juste à côté du monarque.
Joua le tout pour le tout !

«Bonjour, Lucius. Je me nomme Jamala»

L'odeur venait lentement au nez du lion comme la peste. Oui, Lucius avait horreur de devoir dire des avertissements à une bannis, quelle soit son rang ou son histoire. Il avait promis à Kovu de protégé les lions, ce qui était un très bon point. Mais en même temps, le vieux lion savait très bien qu'il n'avait pas l'étoffe d'un monarque ou simplement d'un remplaçant. Un vent lent vint alors s'entremêler dans la crinière du roi. Il ferma les yeux un moment et tourna le regard. C'est alors qu'il reconnu celle qui se trouvait devant lui. Son visage fut étonné mais surement bien plus frustré qu'autre chose. Il posa ses yeux de félin directement dans ceux de Jamala, sans peur de représailles. Un grondement sourd vint alors à sa gueule, l'un qui n'était pas très content de voir ici et aujourd'hui, une bannis.

-Tu n'as pas honte de revenir ici?

Il ne voulait pas la faire fuir du premier coup, ce qui serait vraiment stupide de sa part. Oui, elle avait fait quelque chose de terrible, mais la compassion du lion était beaucoup plus forte que la moyenne des lions. Lucius avait quand même un coeur mais il avait aussi un tête dure. Mais même là, ses griffes semblaient s'activer sur la roche pour montré à Jamala qu'il n'hésiterait pas à tuer si elle faisait un faux pas. Plus rien ne semblait le heurté, même les bruits de animaux de la savane. Quelqu'un aurait pu l'attaquer par derrière et le vieux lion n'aurait même pas prit conscience de sa présence. Tout ça concentration était fixé sur cette simple lionne au passé douteux.

Lucius dans le fond de lui-même espérait quelle reste en vie. Mais plus le temps avancerait et plus le roi deviendrait moins clément. Peut-être venait telle défendre sa vie, mas après avoir tuer sa famille au complet, à un âge assez jeune, le scénario dramatique ressemblait beaucoup à celui de Kara. Peut-être était-elle de mèche, ou peut-être pas?

(DSL, l'inspiration viendra quand on sera plus loin dans le Rp)

[pas grave. juste une chose : t'inquiète, ma perso est énervée, c'est pas personnel.]

-Tu n'as pas honte de revenir ici?

Jamala jeta un regard surpris au Roi. Il arrivait vraiment à sentir l'odeur des bannis ? Eh bien il était fort. Et puis, c'était en fait pas très dur. La lionne n'avait juste pas assez senti de lions de différents clans, car elle préférait la solitude. Cette amie, elle, au moins, ne la laissait pas tomber. La compagnie des lions pouvaient être pleines de bonnes surprises, comme de très mauvaises, qui déchire le cœur.
Comme celle-là.

Elle serra les crocs, et ferma les yeux. Les terres des bannis lui revinrent en mémoire. Leur puanteur, les autres la souffrance...le sang... Un souvenir jaillit, entêtant. Toujours le même. La mort des êtres aimés. Le regard de son frère, impuissant, qui pourtant l'as protégée... jamais elle n'ou-blierait. Pas avant d'avoir venger sa famille. Pas avant d'avoir accompli sa promesse. Elle se sentit vidée. Elle se força à rouvrir les yeux. Lucius pouvait la tuer. Après tout, c'était ses terres, non ? C'était lui le monarque. Le monarque des terres qu'elle aimait. Des terres qui lui étaient interdites. On la repoussait. Personne ne comprenait. Le monde était-il si stupide ? Si cruel ? Si aveugle pour ne pas voir sa souffrance, pour ne pas voir son innocence ? Même Lucius, un lion qui aurait pourtant du être un peu plus intelligent, ne voyais rien. Oui, elle était bel et bien condamnée. Rien n'y ferait. Un seul but dans sa vie : vengeance. Et après ? Quand ce seras fait ? Les non-exclus n'en seront pas plus tendres.
Une première larme jaillit.

Elle planta ses griffes dans la pierre. Le vide en elle fut comblée par une bague de désespoir. Elle pleurait, sans pouvoir s'arrêter. Elle recula un peu. Ses sanglots faisaient trembler son corps. Elle regarda le lion Roi qui la suivait des yeux. Une boule s'en alla de sa gorge et elle pu enfin parler. Pour exprimer tout. Elle pensa à Mufasa. Elle en avait entendu parler, et avait vu son étoile. Lui l'aurait comprise et sauvée. Sauvée et aidée. Elle se mit en garde, prête à défendre sa vie.

«Vas-y, tue moi ! Tue-moi, Lucius ! Tu vois ? T'es exactement comme ces lions qui m'ont bannis. Aveugle et stupide !!! Je n'ai pas tué ma famille ! C'est pas moi ! Comment j'aurais pu faire ça ? Tuer... mon frère ? Je l'aimais, Lucius, je l'aimais ! Et je l'aime encore aujourd'hui ! Et je l'aimerais toujours Mais ça, tu peux pas le voir. Non, tu peux pas. Mufasa, lui, l'aurait vu. Kovu l'aurait vu. Pas toi. Tu sais pourquoi ? PARCE QUE TU SERAS JAMAIS COMME EUX !!!»

C'était un torrent qui s'écoulait de ses yeux. Un torrent, qui, au lieu de la soulager, la laissait de plus en plus désespérée, de plus en plus mal. Le lion ne bougeait pas. Jamala ne lui en avait pas laissé le temps. Elle ne le lui laisserait pas avant d'avoir tout dit.

«TUE-MOI ! Tu vois, ces terres ? J'ai grandi ici ! J'ai eut plein d'amis, j'ai apprit à chasser avec mon frère. JE L'AI VU SE FAIRE TUER ! TUE-MOI ! JE VEUX MOURIR SUR CES TERRES ! Ne t'en fait pas, je tuerais l'assassin de ma famille quand même ! Je les vengerais ! Même si je doit revenir des enfers pour ça. T'entends ? JE LE TUERAIS !»

Elle hurlait beaucoup, c'était compréhensible. Ses sanglots l'empêchèrent de parler. Mais pas très longtemps, et son désespoir, et sa rage gagnèrent. Elle acheva de parler :

«CE SOUVENIR ME HANTE ! ALORS TUE-MOI ! TUE-MOI !»

Lucius regarda alors la lionne commencé presque qu'à pleuré. Elle semblait ne pas vouloir montré signe de faiblesse, mais visiblement, elle était très faible. Laissant son coeur prendre la dérive, elle prenait danger d'entré dans ce lieu, comme une invité. Le coeur du Roi se bloqua aussitôt car en faite, ce n'était pas lui qui l'avait bannis. Face au temps, ce n'est que Kovu qui pouvait l'avoir rejeté de ses terres. Elle prononça alors des mots d'une forte bêtise se jetant seul dans la gueule du loup. Jamala demandait la mort, comme un héroïne au roi de la terre des lions. Celui-ci commença alors à grondé avançant de quelque pas. Puis, elle se mise à faire de comparaison sur Mufasa et Kovu. Cette menteuse mettait donc en doute la décision de Kovu... C'était pour Lucius un geste impardonnable. Elle était entrain de lui dire qu'il ne faisait pas bien son travaille, ce qui était complêtement faux. Qui était-elle vraiment pour jugé les pas d'un monarque remplaçant.

Le roi bondis alors sur la lionne. Il la fit tombé sur le dos et de manière assez violente. Il grognait férocement son mécontentement, montrant ses crocs très près de la figure de la femelle. Ses narines projetaient de l'air chaud dans la figure de Jamala et l'une de ses pattes empêchaient la lionne de se levé. Sa jeunesse, son âge de raison n'était pas encore totalement développé car quelle fou voulait demander la mort à un monarque qui ne fais que protégé les siens. Il leva lentement l'autre patte, près à donné une correction.

-Tu as le choix de vivre ou de mourrir, mais crois moi, je n'oserai pas à levé la patte sur une traite dans ton genre... Kovu t'as bannis et je ne réfuterai pas sa décision. Tu es pire qu'une bannis de salir le nom d'un de nos anciens roi... Kovu à toujours prit les bonnes décisions.

Ses yeux étaient emplis de rage, comme s'il allait bientôt frappé. Il ne fallait pas jouer au héros avec un lion aussi vieux, car leur manière de pensé était souvent tellement fondé qu'on ne pouvait détourné la vérité même. Lucius tassa légèrement sa deuxième pattes pour laissé la chance à la lionne de partir. Il releva la tête, avec un air de persécition et lança cette phrase qui résonnait dans sa tête depuis sa rencontre avec Jamala.

-Part, part très loin et ne revient jamais!

C'était un avertissement à lequel il ne fallait pas blaguer. Lucius était connu pour son caractère dure, depuis la mort de Kovu. Il avait changer.

Jamala vit le lion avancer de quelques pas. Elle grogna. Ses larmes arrêtèrent de couler, et elle s'essuya les yeux d'un revers de patte rapide. Il s'agissait d'un adversaire, et non des moindres. En plus, un adversaire qui ne comprenait pas ce qu'elle voulait dire. Elle sortit ses griffes, mais résista à l'envie de tuer le Roi. Elle respira un grand coup et s'assit. En restant tout de même sur ces gardes. Pas folle Jamala !

-Tu as le choix de vivre ou de mourrir, mais crois moi, je n'oserai pas à levé la patte sur une traite dans ton genre... Kovu t'as bannis et je ne réfuterai pas sa décision. Tu es pire qu'une bannis de salir le nom d'un de nos anciens roi... Kovu à toujours prit les bonnes décisions.
-Part, part très loin et ne revient jamais!

Tu n'as donc pas compris... ce n'est pas Kovu qui m'as bannie. Non, ce sont les lions qui se disaient amis de ma famille. Tu parle ! A 20 contre 1, quelle chance j'avais ? Tout les lions ne sont pas comme ça, heureusement. Lucius, ce n'est pas moi qui les ai tués !
En parlant de Kovu, je pensais au faîte qu'il n'as pas été accepté tout de suite. Qu'il était exclu. Et que Simba ne lui accordait pas sa confiance. Remarque, avec son enfance, je le comprends ! Et Mufasa était -d'après les rumeurs- gentil et ouvert.

Elle ne tentait pas de convaincre le lion Roi. C'était à peu près impossible, et de toute façons elle ne tentait plus rien depuis longtemps. L'espoir ? Ce mot lui était désormais inconnu. Jamala se remit en position de défense. Mais sans bonheur. La lionne ne souhaitait pas se battre. Pas maintenant. Plus tard, peu être. Elle ne re-sortit pas ses griffes et ne grogna pas. elle se sentit propulser en arrière et attérit peu harmonieusement sur le sol. Cependant elle refusa de se battre et se releva simplement.

(He, jamala. Lucius à sauté sur toi... relit ce que j'ai écrit. Pour Kovu, t'inquiète, c'est pas lui qui t'a bannis mais Lucius le croit)

c'est fait. Au début j'avais choisit de ne pas le mettre parce qu'elle s'en fichait un peu.

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